mercredi 20 octobre 2010

CONSOLATA MISSIONARIES IN IVORYCOST

En Côte d'Ivoire

Je suis arrivé en Côte d'Ivoire le 3 juillet 2010. Aussitôt que je suis descendu de l'avion j'ai senti quelque chose comme je traversais le feu. C'était très chaud et humide. Ce n'était pas seulement moi qui suais, mais ceux qui travaillent sur l'aéroport suant aussi. Après avoir obtenu le visa d'entrée et l'empreinte digitale, je suis allé recueillir mes bagages. J'ai dû traverser les rayons X si j'ai quelques fusils pour la mission. Ils n'ont pas fait l'a trouvé.
Quand j'ai mis toutes mes affaires sur les machines passagères, je ne pouvais pas trouver mon ordinateur. J’ai de découvrir très vite. Il y avait un sac avec la même grandeur de mon ordinateur. Mais il n'y avait rien à l'intérieur de cela. Je savais mon ordinateur et ce n'est pas le mien et j'ai essayé de courir en haut et en bas. Je ne pourrais pas l'a trouvé. Par la chance il y avait le frère Roumbot et le Père Michael Miano qui se sont trouvés présent pour m'accueillir. Ils m'ont vu parler la voix très dure et courir partout. Je ne savais pas comment je les ai accueillis mais ils ont été aussi troublés parce que je mélangeais l'anglais et le français. Ils ont exposé aussi la recherche de cela. La sécurité s'est trouvée présent mais ils ne le considèrent pas comme important parce que je crois qu'ils sont diminuent petit à petit avec cette sorte de problème comme leur routine. Après le fait de rencontrer mes confrères j'ai reçu le courage et ai commencé nous est organisé et la demande à un peu de personnel de sécurité et ils nous ont donné pour aller et voir la personne qui travaille dans le bureau d'appareil de photo vidéo pour voir le film si nous pouvons arriver. Sur la voie, un jeune homme nous a appelés. C'était la personne qui travaille là et il était celui qui a pris mon ordinateur. Il nous a dit qu'il a mon ordinateur. Il nous a pris au bureau où il s'était caché sous la table. Après une heure de recherche, j'ai reçu mon ordinateur. On dit bien mal acquis ne profite jamais.

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